Le paiement mobile connaît une percée qui surprend à la fois les banques, les firmes technologiques et les distributeurs.
Mais cette technologie doit être renforcée par des services complémentaires pour occuper la place qu’elle mérite.
Les faits
Le micropaiement mobile gagne de l’ampleur, les consommateurs le préfèrent de plus en plus à n’importe quel autre type de paiement. La raison est simple, c’est une technologie rapide qui dispense de transporter des masses d’argent pour éviter de s’exposer à certains risques
On délivre de moins en moins des chèques et les commerces reçoivent de moins en moins de l’argent liquide. Si tous les consommateurs adoptent cette technologie, les commerces auront du mal à honorer leurs engagements vis-à-vis de leurs charges quotidiennes.
On se sert d’un téléphone intelligent pour effectuer des paiements presqu’à l’insu des banquiers qui ne feront que constater les traces.
Les start-up se frottent les mains
Compte tenu du dynamisme de ce secteur, de nombreuses start-up s’investissent dans la recherche pour proposer des technologies s’adaptant au système d’information des distributeurs.
Les firmes technologiques comme Google et Apple s’intéressent de très près à ce sujet qui est en passe de bouleverser le monde des affaires.
Les griefs
Certains spécialistes reprochent aux applications de paiement mobile d’être tournées exclusivement sur l’acquisition de biens plutôt que de proposer des services complémentaires. Elles peuvent par exemple être corrélées à des cartes de fidélité ou à la délivrance de méta-informations sur les produits au moyen de Wallets.
Les firmes technologiques comme Google et Apple peuvent aider à la mise en œuvre de services complémentaires pour donner une nouvelle impulsion au paiement mobile. C’est la condition pour que ce type de paiement soit adopté par tous.