M-commerce : on consulte plus qu’on achète

m commerceLe m-commerce avance à grand pas, mais les chiffres révèlent que le taux de conversion est encore faible.

Cet exposé revient sur la percée de cette pratique commerciale avant d’aborder le chapitre des réticences des internautes.

 

La percée du m-commerce

Un français sur cinq achète en ligne, le m-commerce est appelé à se substituer au e-commerce.

Ce succès s’explique par la volonté affichée des internautes d’acheter tout en se déplaçant afin d’éviter les longs fils d’attente devant les caisses des magasins. La rapidité d’exécution de cette pratique commerciale lui vaut d’être adoptée par un nombre de plus en plus important de personnes.

Il y a plus de consultations que d’achats

Malgré tout, le taux de conversion reste relativement faible sur tous les terminaux, beaucoup d’internautes se contentent de consulter les offres des sites marchands pour y prendre des notes ou satisfaire une curiosité.

Google et Kantar Media révèlent que les taux de conversion les plus élevés en France en 2012 concernent le high-tech avec 3,5%, la vente de pneus avec 3,1% et les voyages avec également 3,1%.

Les rebonds, refus et abandons sont les pratiques les mieux partagées. Pourtant, les technologies utilisées mettent davantage l’accent sur la sécurisation des opérations pour dissuader les arnaqueurs. On a donc du mal à comprendre la faiblesse du taux de conversion.

Mais les plus optimistes professent la patience car ils estiment que le m-commerce finira par s’imposer à tous les profils d’utilisateurs dans un avenir très proche.

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